Fin juin 2012 j'ai demandé à mon ami Gérard du monde immatériel si je pouvais lui rendre un quelconque service : voir détail (
ici...)
"
UNE PETITE PRIERE DE TEMPS EN TEMPS " fut sa réponse brève, claire, précise !
Ce fut pour moi une révélation majeure:
=== qui me prouvait que Gérard existait toujours alors qu'il avait quitté son corps matériel depuis quelques mois
=== qu'une intention/prière de ma part avait le pouvoir de l'aider, qu'il avait encore des besoins.
=== " de temps en temps " je comprends: sans limite dans mon temps terrestre.
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Le jeudi 20 octobre 2016 à 22h00, lors de mon rendez-vous avec mon ami du monde immatériel, celui-ci m'a demandé:
. . . . . . "
BRUNO GUERIS MON CANCER " . . . . . .
Stupéfaction et incompréhension de ma part ! Je n'en ai pas dormi de la nuit.
Guérir son cancer qui avait détruit son corps matériel depuis plus de 4 ans !
Il ne pouvait quand même plus être malade d'une chose qui n'existe plus !
C'est là que j'ai compris le TEMPS universellement présent.
L'image de son cancer formait une tache sombre et disgracieuse dans sa mer de nuages.
Et je pouvais par l'amour, en lui apprenant à aimer son cancer, l'aider à effacer/blanchir ce souvenir présent.
(pour plus de détails, voir
ici ... )
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Une nuit, après une journée bien remplie, je parlais encore mentalement à Gérard:
-> es tu heureux, là où tu es à présent ?
-> ton environnement est-il beau, agréable ?
-> à quoi passes-tu présentement ton temps ?
-> poursuis-tu encore un but à atteindre ?
-> pourquoi ne me donnerais tu pas une petite idée de ce qui m'attend ?
Mon ami Gérard était (est) d'une intelligence supérieure:
... professeur, aimable, serviable, compréhensif, prêtre pendant des années, puis marié et père d'une famille heureuse,
doué en beaucoup de domaines intellectuels et matériels, artiste, musicien, facteur d'orgues, et j'en passe...
J'espérais donc de lui un petit renseignement utile, réconfortant et stimulant dans le brouillard où je marchais...
Sa réponse fut forte et claire, concise, lapidaire et sans commentaire;
. . . . . . "
TU LE SAURAS TOUJOURS ASSEZ TÔT ! " . . . . . .
Là je ne sais plus que penser. Plustôt que de me raconter une vulgarisation,
jugeant sans doute ma pauvre cervelle incapable d'embrasser la grande réalité...
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